De la jolie compagnie ft. Juliet

Pendant quelques jours, ma mère me passa des coups de files à mon appartement et parfois sur mon portable. Elle me laissa même des messages. Sa me tombait royalement sur les nerfs avec tout ce qu'elle peut me raconter. Moi je n'est simplement rien à lui dire, car depuis que mon père est décédé, elle a commencer à se sentir manipulatrice. Bien que je sentais aussi une grande frustration en elle, je changea mon téléphone et mon numéro à l'appartement. Je me suis pas gêner pour le faire, mais j'ai du avertir tout mes amis(es) pour ne pas qu'il appel ailleur avec le vieux numéro. Après cela, je me suis dit que des petites vacances me ferrait le plus grand bien et la plage me manquait un peu. Comme mon père à fait batir une maison dans les Hamptons, disons que maintenant c'est moi le propiétaire de la maison. Je l'aime et elle a tout ce que j'ai de besoin pour y aller passé du temps. Il y avait les gens qui s'occupait de la maison qui habitait dedans pour l'entretenir, mais quand la plage est revenu dans mon champ de vision, je me suis assis sur le sable et regarda la mer.

Nous faisons tous parti d'une famille très riche, ne nous méprenons pas, nous sommes tous dans le même sac ! Encore plus dans les Hamptons, j'avais toujours connu ça, la plage, j'adorais ça, j'avais passé les premières années de ma vie là bas de toute façon. Miami, mes origines !

Ayant décidé de me prendre une petite semaine de vacances sur mon planning de la fac. De toute façon je n'étais pas le genre à attendre d'avoir la permission pour sécher.

Je n'avais pas de shooting de toute la semaine.

Je jouais au volley sur la plage avc une bande de garçons, des fils de bourges, eux aussi. Que je croisais de temps en temps en venant ici. Nous étions une bande qui se retrouvait souvent sur la plage.

Le ballon parti s'échouer sur le sable, plus loin. Je fila le récupérer, aux pieds d'un jeune homme. Arrivant presque à sa hauteur.

Salut.

Il a bien longtemps que je ne suis pas revenu ici. J'avais passé tout mes étés de jeunesse dans les Hamptons. Quand j'était plus jeune, mon père avait un Ranch avec des chevaux qui était un cadeau d'anniversaire quand j'avais l'âge de 6ans. J'en avait trois et je me souvient on se prommenais toujours le soir quand les vagues se manifestait. J'en avait un blanc, un noir et un cheval qui était de race sauvage. Il était brun roux qui était le miens. Je l'avait nommé Red, car au soleil, il avait des refflet rouge extraordinaire, mais quand j'ai eux l'âge de 11ans, un feu pris dans le rench et les chevaux on tous péri dedans. Mon père en a fait son affaire lorsqu'il a découvert que le feu était dorigine criminel. Moi j'en avait aucune conssience quand j'était complêtement endormi dans ma chambre.
Je laissa encore mes souvenirs vaguée avec le son des vagues et je sentie quelques chose me hurté. Un ballon de volley et bien, c'est pas sa qui manque ici. Une jeune fille arriva et disons que je la reconnu tout suite. C'était Juliet, une amie que je connais depuis longtemps.

«Hey, sa va Juliet.» Dige pour qu'elle me reconnaise.

Le soleil, la plage, tout ce qui me manquait quand nous étions à New-York la semaine. Remarque je m'accomodais bien des deux, j'avais besoin de la vie citadine, de l'agitation de la ville et des taxis, de pouvoir sortir de la fac en faisant les boutiques, de sortir de mon shooting en limousine ou en voiture avec chauffeur, toujours est il qu'un bon petit retour aux sources n'était pas du luxe. Les Hamptons étaient réputés pour sa haute notoriété sociale. Nous étions entre riches, un guetto de bourges comme dirait les autres. Il n'y a pas de soucis, moi si j'ai ce qu'il me faut... De toute façon tout se joue sur les apparences dans notre monde. L'amitié n'est fidèle que s'il n'y a pas déjà eu de sexe entre nous, c'est bien connu non?

Le volley était une façon de retrouver certaines de mes conquêtes, qui ne sont plus des amis puisqu'on a déjà eu l'occasion de s'envoyer en l'air dans des soirées différentes. De toute façon ça fini toujours au lit ce genre d'histoires, ne soyons pas dupes, on va là bas pour ça ! Et si vous aviez un décolleté un peu plus plongeant que la voisine, vous aviez un meilleur parti, tout simplement. Le même dont vous vous sépariez une semaine ou trois jours plus tard pour une nouvelle soirée. Voila comment tournent les choses ici. On s'y fait.

Le ballon parti en direction de Ian, je le connaissais depuis petite en effet, nos parents fréquentaient les mêmes endroits, donc nous fréquentions les mêmes soirées mondaines où on s'ennuyait étant gosse, nos baraques dans les Hamptons étaient voisines.

Tu viens jouer ?

Autant l'inclure dans les équipes, plus on est de fous, plus on rit ! Et puis pourquoi ne viendrait il pas à la soirée de ce soir chez Mike, ce serait une occasion de le faire bouger un peu, il avait l'air dans son délire là, enfin dans ses souvenirs plutôt.

Tout mes souvenirs était à cette endroit précis. Mes parents, mon ranch, mes cheval et moi bien sûre qui a tout sa tête. J'était encore assis sur le bord de la plage près de chez moi en regardent la vue qu'elle me donnait. Mes souvenirs voyagais avec les vagues et le vent qui nous entourais. Je peux encore entendre mes cheveux ainir quand il acsaillairait la cadance et je me souvient que j,ai déjà monter avec mes deux pieds sur le dos du cheval lorsqu'il courrait. Je me passa les mains dans mes cheveux et je me leva. Je sentie quelques choses me frapper. Quand j'ai vie Juliet arrivé dans ma dirrection, un sourire me donna un genre d'espoire. Je la salua pour être polie et elle avança encore plus verre moi et je lui donna le ballon.

Je la regarda pendant quelques moments avec mes yeux bleu et je la trouva dissons, asser mignone comme ça. Une chance que ma mère n'est pas avec nous en se moment, car elle nous ferrais des façons asser étrange. Elle me demanda pour aller jouer. Disons que ça serait cool, surtout avec elle.

«Oui, je veux bien et aussi tu ne ma pas dit comment tu allais.»

où en est le topic?

» Juliet Richardson [Finie ^^]