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 T'a fini de matter mon derrière?

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Perséphone Kennedy

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MessageSujet: T'a fini de matter mon derrière?   T'a fini de matter mon derrière? EmptyJeu 10 Juin - 18:47

    Les salles d’art de Constance étais tout simplement inexistante et lors de mon admission, la directrice avais promis pouvoir m’obtenir une autorisation pour que je traverse la cours commune durant mes heures libre pour occuper une salle libre de l’école priver de garçon. Mais après ma retenue, mon flagrant manque de respect à un professeur, mais elle l’avait mérité empalement, ma non-présence a une rencontre parent-élève-enseignant-direction...moi non plus je ne me serais pas dépêcher pour obtenir une autorisation pour cette élève....

    Mais, trois semaine plus tard, j’ai enfin réussit à avoir cette autorisation qui étais si cher à mes yeux. Je ne pouvais ni peindre dans ma chambre parce que ma cousine se plaignais sans arrêt de l’odeur, ni dans la rue hein et même pas à l’école. Et comme j’avais besoin de peindre, premièrement parce que j’aimais ça et deuxièmement parce que c’étais une source de revenu, il ne me restait plus que l’école.

    C’est donc lors de ce mardi après midi, que je me suis dirigé pour la première fois à St-Jude. La cours commue étais vide. Toute les petit bourgeoises était en classe, moi je n’avais pas cours. Je n’avais pas cours le mardi, jeudi et vendredi après midi, pourquoi? Parce que j’avais déjà fait les cours qu’il y avais pour mon niveau ici. Je les avais fait à LA lorsque j’étais dans une classe avancé. J’avais l’aire de rien comme ça, et je savais que c’étais se que penser tout le monde qui me croisais pour la première fois, mais j’en avais dedans.

    Je disais donc que j’ai traversé la cours commune, et je me suis diriger vers St-Jude. Eux aussi étais en classe a ce que je pouvais remarquer. Je suis ensuite allé vers la classe qui m’avait été assigné. En y arrivant, j’ai de suite installé ma toile, la peinture..., j’ai enlevé mon chandail à manche longue pour rester en débardeur plus confortable pour peindre. Après avoir ouvert les pots de couleur dont j’allais avoir besoin, j’ai branché les écouter de mon iPod et j’ai mit la musique à fond. Au moins, je n’allais pas me faire déranger par n’importe quel bruit.

    [...]

    Je ne savais pas combien de temps c’était écouler, mais j’avais terminer ma toile. J’aimais beaucoup le résulta. C’étais un mélange de rouge de noir et de blanc. On pouvait aussi clairement distinguer une jeune fille avec des cheveux interminable magnifique malgré l’expression triste de son visage. La musique de mon lecteur c’est arrêter au moment ou j’ai eu fini et c’est aussi à ce moment que j’ai entendu du bruit dernière moi...Depuis combien de temps cette personne était-elle là?


    Perséphone| « Si tu veut, je te photographie mes fesses, comme ça tu va pouvoir les regarder sans être obliger de te cacher derrière moi »


    Je me suis ensuite retourné pour voir qui c’était. Un jeune homme apparemment. Il devait avoir environ mon âge. Et par son uniforme, il devais venir a St-Jude. Ça aurait été mentir de dire qu’il était laid et un euphémisme de dire simplement qu’il était beau. Il semblait charmant. Mais mon expérience m’avais apprit à se méfier des apparences.

    J’ai prit un pinceau et un linge et j’ai commencé a nettoyer le bordel que j’avais mit.


    Perséphone| « Alors, tu me dis depuis quand tu regarde ce que je fais ou tu reste planté là a rien et a regarder passer les mouches? »
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Hades Miller

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MessageSujet: Re: T'a fini de matter mon derrière?   T'a fini de matter mon derrière? EmptySam 12 Juin - 16:21


    Un silence tendu étouffait la salle. Les élèves, retenant leur souffle, suivaient le surveillant du regard. Celui ci s'avançait d'un pas trainant dans les rangées, distribuant les sujets de ce putain d'examen blanc de philosophie.

    « Vous pouvez commencer.»
    , lâcha-t-il après avoir enfin fini la distribution.

    Je retournais ma feuille, et lisais le sujet. « Quel est le péché le plus irrémissible; l'ignorance, ou l'indifférence?». Et merde. D'habitude, pour les plans de dissertation, je ne me foulais pas:
    "I - Oui. II - Non. III - Peut-être.". Cette fois, j'allais peut-être devoir innover un peu, parce que ça ne collait pas vraiment.
    Je mordillai mon crayon pendant de longues minutes, puis le posai enfin sur ma feuille de brouillon. Prenant soin de bien espacer chaque titre pour avoir la place de noter mes idées, je rédigeai :
    "I - L'ignorance. II- L'indifférence. III - Les deux." Voilà, ça c'est de l'innovation.
    Je passai l'heure suivante à fixer la nuque de mon voisin de devant, comme si j'espérais trouver dans ses cheveux l'inspiration qui me manquait. J'avais bien quelques citations en tête sur le sujet, comme du Rabelais ou du Hugo, mais rien qui me permette de commencer un truc bien. Je regardais les autres gars, penchés sur leurs copies, rédigeant nerveusement leurs ramassis de conneries. J'avais vraiment l'impression de perdre mon temps, ici. Et j'avais encore 3h à perdre dans cette même salle.
    Soupirant, je relisais pour la millième fois mon sujet. L'ignorance, ou l'indifférence?
    Oh et puis merde. Je m'emparais de ma feuille, et écrivis simplement ces quelques mots:
    "Je sais pas et je m'en fous.".
    Ça ne pouvait pas mieux coller au sujet. Je ramassais mes affaires, et sortais de la salle sous le regard ahuris de mes camarades. Quoi, il ne me connaissaient pas encore assez pour trouver cela parfaitement normal?

    Les couloirs du lycée étaient déserts, ce qui, au fond, n'avait rien d'étonnant. Tout le monde était en cours, évidemment. Sauf moi. J'aurais pu rentrer, mais je ne voulais pas, pas maintenant. J'en avais assez d'être seul, il fallait que je me change les idées.
    C'est ainsi que je me mis à errer dans les couloirs, espérant croiser quelqu'un, n'importe qui. Même le cpe ferait l'affaire. Oui cela me foutrait probablement dans la merde, mais ça animerait un peu ma journée. Une distraction, bonne ou mauvaise, c'était tout ce que je demandais. Et c'est en passant devant la salle d'art plastique que je la trouvais.
    La porte était entrouverte, et un filet de lumière s'en échappait. Je poussais la porte, et cessait de bouger, fixant la personne qui me tournait le dos.
    Je rêvais, ou c'était une fille?
    Au vue de ses courbes - plus qu'agréables à regarder, soit dit en passant - et de ses longs cheveux, le doute n'était pas vraiment permis. Elle n'avait pas remarqué ma présence, et continuait à peindre au rythme de la musique qui s'échappait de ses écouteurs.
    Et puis, au bout de dix bonnes minutes, elle reposa son pinceau; son tableau était finit. Elle l'admira avec fierté, les mains posées sur ses hanches, la tête légèrement penché sur le côté. Il faut l'avouer, ce tableau était magnifique; et j'en connais un rayon, dans les arts. Grâce à mon poète de père, bien sûr. Il se dégageait de cette peinture une tristesse tellement douce, tellement belle, c'en était époustouflant.
    Fasciné, je m'approchai d'un pas, puis m'immobilisais, me rappelant qu'elle ignorait toujours ma présence... Enfin, c'est ce que je pensais, jusqu'à ce qu'elle se mette à parler.

    « Si tu veut, je te photographie mes fesses, comme ça tu va pouvoir les regarder sans être obliger de te cacher derrière moi »


    J'éclatais de rire, et elle se retourna, dévoilant enfin son visage. Décidément, tout était beau, chez elle. Elle me fixa quelques secondes, et commença à ranger ses affaires.


    « Alors, tu me dis depuis quand tu regarde ce que je fais ou tu reste planté là a rien et a regarder passer les mouches? »


    J'esquissai un grand sourire.

    « Aucune idée. Peut-être cinq, dix minutes. Mais oui, je veux bien pour la photo, c'est gentil de proposer.»
    Mon sourire prit une expression insolente. Qui charmait ou qui énervait, cela dépendait les gens.


    « Moi c'est Hadès », ajoutais-je en tendant la main. « Et je dis pas ça que pour draguer, mais ce que tu fais est vraiment magnifique.»
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Perséphone Kennedy

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MessageSujet: Re: T'a fini de matter mon derrière?   T'a fini de matter mon derrière? EmptyDim 13 Juin - 0:38



    J’étais toujours face à lui lorsqu’il accepta ma proposition de photo. Ça me fit sourire. JE fit semblant de fouiller dans mes poches avant d’haussé les épaules.

    Perséphone|«Désoler, j’ai du les oublier dans mon autres jeans...»

    J’avais bel aller à l’école Constance Billard, je n’avais toujours pas reçu mon uniforme. Peut être que la directrice trouvais ça marrant de me voir toute seule dans la cours commue sans uniforme parler à personne. Elle prenait sans doute des photos et après les amenais a l’appui lorsque les jeune se plaignais de leurs costume hideux. Elle pouvait leur dire « tu vois, si tu le mets pas, et bien tu seras une sans amies petite idiote » Ouais...je l’imaginais bien. Elle devait être fière d’elle la vielle...Mais bon, je m’en fichais pas mal de cette uniforme. De toute manière même si je l’avais, je ne suis pas certaine que je le mettrais...

    Enfin bref, le jeune homme était toujours devant moi. Comme ça, il était planté derrière moi à me regarder depuis environ dix minutes et il ne m’avait pas avertie...Eh bien, j’espère au moins qu’il avait apprécié le spectacle! Mais es-ce que ça changeais quelque chose à ce que j’avais peint ? A ce que j’avais fait? Nah, ça ne changeait absolument rien. Alors valais mieux en rire qu’en pleurer...


    Il enchaina toute suite en me tendant la main et en me disant comment il s’appelait. Sur le coup, j’ai cru que c’était une blague. Ça m’était arrivé lorsque j’étais au primaire. D’autre petit était venu de voir et m’avait dit un truc comme « Salut, moi c’est Arès »...mais je savais qu’en fait son nom c’était quelque chose comme Benjamin ...quelque chose de banal quoi et qu’il voulait se moquer de moi parce que j’avais un nom pas comme les autre. Alors, lorsque le jeune homme se présenta à moi j’ai été un peu retissant. Mais on ne se connaissait pas...Il ne pouvait pas savoir que je m’appelais comme l’épouse d’Hadès dans la mythologie. J’ai donc prit un linge qui trainais sur la table, je me suis essuyer les mains et je lui ai serré la sienne.


    Perséphone|«Enchanté Hadès, moi c’est Perséphone...et je ne dis pas sa pour te draguer. Si tu veux je te montre même une pièce d’identité...»

    On se serra la même quelque seconde, comme les gens normaux le font quoi. Et j’ai ensuite continuer a laver les pinceau que j’avais dans l’autre main. Apparemment, il aimait bien le tableau que je venais de faire. Je souris.

    Perséphone|«Eh bien merci. Et je ne dis pas ça que pour être gentille. »

    J’ai jeté ensuite un coup d’œil a ma toile avant de reprendre mo travaille de nettoyage. Il avis vraiment l’aire de bien l’aimer parce qu’il la regardait et semblas effectivement l’apprécier. Ça me fit sourire. Les gens de son âge, enfin du mien aussi, ni connaissent normalement rien en peinture, ni en poésie, ni en théâtre, ni en cinéma ou en musique...ils n’y connaissent rien en art, voilà tout! Mais lui peut être qu’il s’y connait, il était peu être bien un être appart des autres, comme moi.

    Perséphone|«T’a l’aire de t’y connaître... »

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